Le Syndicat National des Agents du Trésor de Côte d’Ivoire (SYNATRÉSOR) a réitéré son engagement en faveur du bien-être des agents du Trésor Public, en faisant don de la somme d’un million de F CFA à la Cellule de Soutien et d’Accompagnement des Agents atteints du cancer. C’était le mercredi 12 novembre 2025, au Centre Médical Paul Antoine Bohoun-BOUABRÉ du Trésor Public, sis à Abidjan-Plateau.
Ce geste, selon le Secrétaire Général du SYNATRÉSOR, M. FÉA Okoh Gervais, qui était accompagné de plusieurs de ses camarades, s’inscrit dans la vision du Directeur Général du Trésor et de la Comptabilité Publique, M. AHOUSSI Arthur Augustin Pascal, qui fait du bien-être du personnel un levier essentiel de la performance :
« Au Trésor Public, la performance passe par le bien-être. Aucun agent ne doit être laissé seul face à la maladie », a—t-il fait remarquer. Non sans saluer au passage l’initiative prise par la Direction Générale de mettre en place un tel outil de solidarité.
« Nous sommes tous des malades potentiels. L’action du Directeur Général est noble et mérite d’être soutenue. Nous sommes venus lui témoigner notre appui et inviter tous les agents du Trésor à y souscrire », a-t-il poursuivi.
Recevant le don, Dr GUEYE Boubakar Seydou, Médecin Chef-Adjoint, représentant l’Administrateur Général et le Médecin-Chef du Centre Médical, a salué l’acte humaniste posé par le SYNATRÉSOR.
« Votre geste nous touche profondément. Il intervient en pleine période de campagne de dépistage du cancer de la prostate. Le Directeur Général du Trésor attache une importance particulière à ces actions de prévention et d’accompagnement », a-t-il déclaré.
Il a également profité de l’occasion pour rappeler la nécessité d’une sensibilisation accrue, notamment auprès des hommes, dans le cadre du “novembre Bleu”, mois consacré à lutte contre le cancer de la prostate. Exhortant ainsi les uns et les autres à s’engager véritablement dans les actions préventives par le Trésor Public, Dr GUEYE Boubacar Seydou a rappelé que plus le cancer est détecté tôt, plus les chances de guérison sont grandes. Invitant également ses interlocuteurs à cesser d’en faire une question taboue, comme c’est malheureusement la tendance.
